lundi 16 janvier 2023

La Lettre du Routier n° 22 - Décès d'Emillien MIOSSEC

    J'ai appris tout dernièrement le décès d’Émilien MIOSSEC survenu le 6 décembre dernier à l'age de 39 ans.


    C'était un cousin éloigné par alliance dont la mère, Sylvie LOUIS, était la petite-fille de Lucie MENEVAUT, la sœur de ma grand-mère paternelle, Marie Yvonne MENEVAUT mariée PERRIN.

    Il était apparenté également avec les LEGER de Magnien.

    Je ne le connaissais pas vraiment mais cela ne m’empêche pas de m'associer au chagrin de sa famille et de ses amis et de leur transmettre tardivement mes sincères condoléances.

    La Roche de Rame, le 16 janvier 2023.

    Philippe PERRIN


dimanche 20 mars 2022

La Lettre du Routier n° 21 - Décès de Suzanne GOUJON née LOUIS

 Suzanne LOUIS (1924-2022)

Avec un peu de retard, j'ai appris le décès de Suzanne GOUJON née LOUIS. C'était une cousine de mon père.

Suzanne LOUIS est née le 12/04/1924 à Blangey un hameau de la commune de Jouey (21). Elle était la fille de Albert LOUIS, né à Paris le 08/01/1892, vraisemblablement de l'assistance publique, cultivateur à Blangey et de Lucie MENEVAUT (1895-1979) la sœur de ma grand-mère paternelle.

 

Suzanne était le deuxième enfant du couple LOUIS-MENEVAUT, l'ainé étant Maurice né en 1923 mais décédé à l'âge de 6 jours. 

Le 3ème enfant est bien connu des anciens Arnétois puisqu'il s'agit de Lucien LOUIS (1928-1994) époux d'Alice DUROUX (1926-2011), plombier à Arnay le Duc.


 

Suzanne s'est mariée une première fois le 30/08/1947 à Magnien avec Pierre MILLET. Trois enfants sont nés de cette union, Ronald, Nadège et Maurice.

 

Je me souviens de Ronald dont le tragique décès suite à un accident de moto lors de son voyage de noce avait endeuillé la famille.

En seconde noce, Suzanne a épousé Georges GOUJON le 07/09/1957 à Arnay le Duc. Je n'étais pas encore né !
 

L'arbre généalogique de cette cousine de mon père n'étant pas complet, je suis vivement intéressé pour le compléter et je suis preneur de tout renseignement complémentaire. Merci d'avance.
                                              
                                                                                             Le 20 mars 2022
                                                                                             Philippe PERRIN 
                                                                                             Pelvoux05@orange.fr
                                                                           https://www.facebook.com/philippe.perrin.05/

 
 






















jeudi 20 janvier 2022

La Lettre du Routier n° 20 - Amable HAUTEFEUILLE ancien combattant de 1870-1871

Amable Charles HAUTEFEUILLE est un arrière-grand-père du côté maternel de mon beau-père, Georges DEVOITINE (1933-2019).

Amable (et non Aimable) est né le 3 septembres 1850 à Sébouville, une ancienne commune du département du Loiret maintenant associée à la commune de Guigneville à quelques kilomètres au nord-ouest de Pithiviers.

Excepté son père, Jean Baptiste Charles HAUTEFEUILLE qui est né à Faronville (45), les HAUTEFEUILLE proviennent du département de l’Essonne (91).

Dernièrement ma belle-mère a retrouvé dans ses archives une gravure commémorative, dédiée à M. HAUTEFEUILLE Amable Charles, Loiret, ancien combattant de 1970-71.

Cette affiche atteste que l'intéressé a été décoré de la médaille de la Guerre 1870-71 qui lui a été décernée pour ses bons et loyaux états de service et pour sa belle conduite pendant la durée de la guerre.


Voici la dite médaille avec l’agrafe "ENGAGE VOLONTAIRE" mais qui n'est pas contractuelle car celle de l'intéressé n'est pas parvenue jusqu'à nous.

Amable HAUTEFEUILLE était-il un engagé volontaire ou faisait-il partie de la conscription tirée au sort ? Des recherches s'imposent.

"La conscription est institutionnalisée en France en 1798 à l'initiative du général Jourdan. De 1804 à 1903, les appelés sont convoqués pour connaître leur affectation à l'issue d'un tirage au sort. Dans un premier temps, le tirage au sort détermine qui part et qui ne part pas, les numéros les plus bas étant réputés « bons pour le service ». En 1872, la fonction du tirage est changée : les numéros les plus bas font un service de cinq ans, les autres d'un an seulement. En 1889, la durée du service est fixée pour tous à trois ans, les numéros servant désormais à déterminer l'arme d'affectation." Frédéric MAGUET

https://histoire-image.org/fr/etudes/conscription-xixe-siecle-0

Amable HAUTEFEUILLE épousa à Escrennes (45) le 23 janvier 1877, Eudoxie Rosa DELAFOY (1858-1947) qui n'est autre que la sœur d'Albertine Charlotte DELAFOY (1863-1910). Cette dernière épousa en seconde noce Henri Louis François Hilaire BOUSSENARD (1847-1910), médecin, écrivain, aventurier, homme de lettres, auteur d'une quarantaine de romans, le "Globe-trotteur de la Beauce" baptisé ainsi par son biographe, Thierry CHEVRIER.

Agriculteur à Escrennes, Amable HAUTEFEUILLE s’éteint dans cette commune le 17 aout 1924 laissant une veuve et cinq enfants.


 

20 janvier 2022.

Philippe PERRIN

 Elena Trepetov historienne russe, présente sur Facebook https://www.facebook.com/profile.php?id=100013943174605 , spécialiste de Louis BOUSSENARD nous apporte les renseignements suivants :

"Amable Hautefeuille a été en service actif au régiment d'artillerie de 25.09.1870 jusqu'à 10.08.1875. A voir les registres matricules militaires d'Orléans, classe 1870, numéro 1020"

 https://consultation.archives-loiret.fr/ark:/20522/s005a280b48822dd/5a2e9837f0bd9.ef=10&s=28 




 Au vue de ces documents, nous constatons que Amable HAUTEFEUILLE a été incorporé du 25 septembre 1870 au 10 août 1875 au 7ème Régiment de Cuirassiers puis au 5ème Régiment Territorial d'Artillerie, presque cinq ans dans l'armée, en campagne contre la Prusse avant de redevenir paysan à Escrennes.

24 janvier 2022

Philippe PERRIN




 

 

 

samedi 18 décembre 2021

La Lettre du Routier n° 19 - La famille Cislaghi dans mon arbre génalogique.

La mère de ma grand-mère paternelle, Marie Yvonne PERRIN née MENEVAUT (1900-1998), s'appelait Marie Gabrielle COSTE (1871-1934). 

Elle était née à Magnien (21) de Étienne COSTE (1831-1851) et de Marie CARRE (1830-1851).

Les COSTE natifs de Magnien provenaient deux générations plus hautes de CHARREY SUR SAONE (21).

M’intéressant aux COSTES j'ai découvert qu'une sœur de mon arrière-grand-mère, Marie Claudine COSTE (1859-1946) avait épousé le 11/07/1881 à Magnien, Pierre CISLAGHI (1851-1917) originaire de Samarte en Italie au nord-ouest de Milan.

Poursuivant mes investigations notamment sur Généanet, je découvre que Pierre CISLAGHI né le 04/02/1851 à Samarate est décédé le 15/04/1917 à Rouvres sous Meilly (21) où il exerçait la profession de terrassier.



à suivre ...

mardi 20 avril 2021

La Lettre du Routier n° 18 - Des d'aïeuls trés âgés pour l'époque.

Mon arrière-grand-père Pierre PERRIN dit le Routier a épousé le 5 mars 1888 à Allerey, Anne Jeanne Marie DEBLANGEY.

Remontant la lignée de mon arrière-grand-mère par les DEBLANGEY, puis les PERNOT, les GOUHAULT, les PONELLE et enfin les CHALUMEAU, je suis arrivé à un couple d’aïeuls ayant vécus fort longtemps .

 


En effet, Jean PONELLE, laboureur au Passeux, décédé le 15 août 1783 à Manlay à l'âge d'environ 98 ans, serait donc né vers 1685.

Et sa femme Pierrette CHALUMEAU décédée le 27 mars 1783 à Manlay à l'âge d'environ 92 ans, serait donc née en 1691.

Mariés en 1723 à Manlay, sources Généanet tirées vraisemblablement d'un contrat de mariage car l'état civil pour cette année là n'existe pas en numérisation aux archives de la Côte d'Or, ce couple a engendré douze enfants. Si leur nombre d'enfants n'est pas anormal pour l'époque, les âges de leur décès, 92 et 98 ans, n'est pas courant !

Peut-être que Pierrette CHALUMEAU est morte des suites de l'hiver glacial 1782-1783 et que Jean PONELLE n'a par survécu à la canicule de l'été 1783 ou bien est mort de chagrin et de lassitude ?

- o O o -




dimanche 29 mars 2020

La Lettre du Routier n° 17 - Photo de mariage de Catherine Schummer et de Jean Thill

Photo de mariage de Catherine Schummer et de Jean Thill

7 novembre 1903
Kayl 
(Grand Duché du Luxembourg)



1er rang (de gauche à droite) : 

- Une inconnue ?
- Catherine Schummer (1878-1973) la mariée toute en noire.
- Jean Thill (1872-1938), forgeron.
- Élisa Reiners (1851-1940) la mère de la mariée.

2ème rang :

- Nicolas Schummer (1885-1965), le frère de la mariée.
- Élise Schummer (1888-1877), la sœur de la mariée.
- Hilaire Schummer (1843-1911) le père de la mariée, cordonnier.
- Suzanne Schummer (1883-1939), la sœur de la mariée.
- Michel Schummer (1876-1967), le frère de la mariée.
- Barbara Berthe Schummer (1880-?), la sœur de la mariée.

Sur cette photo sont présents le couple Hilaire Schummer - Élisa Reiners et six de leurs sept enfants.
Il manque Jean Joseph Schummer (1875-1918) pour une raison qui nous est inconnue.

Il est à noter que Nicolas et Élise Schummer sont mariés respectivement à Marie et Jacques Schummer, frère et sœur d'une autre branche. Peut-être sera-t-il possible que les raccorder à un même aïeul ?


jeudi 26 mars 2020

La Lettre du Routier n° 16 - Les Schummer de Soissons


Les Schummer de Soissons 


 

Je possède cette photo originale depuis pas mal d'années. Mais je ne me souviens plus qui me l'a donnée. Peut-être est-ce Cécile Haas lors d'un séjour chez elle au Luxembourg ? Ou bien s'agit-il de Geneviève Aubas que j'avais contactée le 1er mai 1997 ? En tout cas c'est Joseph Schummer (1920-2017) d'Aignay le Duc qui m'avait dévoilé l'existence de la branche de Soissons. 



Cette branche prend naissance avec Catherine Schummer (1850-1933), le troisième enfant d'Hubert Schummer et de Catherine Schiltz.
Catherine Schummer se marie le 16 juillet 1878 à Paris 8ème avec Nicolas Simon (1851-1921).
A la date de leur mariage, lui est valet de chambre et elle femme de ménage. Ils demeurent rue du Cirque dans le 8ème arrondissement de Paris. Cette rue est parallèle à l'avenue de Marigny juste à côté du Palais de l’Élysée. C'est l'adresse de leurs employeurs donc des gens de la haute société.

Nicolas Simon est né le 25 juillet 1851 à Reckange de Jean Nicolas et de Suzanne Waltzing.
Il est à noter que le patronyme Waltzing se retrouve également du coté des Schummer-Jung avec Marguerite Waltzing , la belle-mère de Michel Schummer (1876-1967).
http://data.matricula-online.eu/de/LU/luxemburg/reckingen-a-d-mess/KB-20/?pg=78


Ensuite la descendance se fait de la manière suivante. Catherine Schummer et Nicolas Simon ont deux enfants dont Marguerite qui meurt à l'âge de 3 mois en 1880 à Leudelange. Leur garçon, Gabriel Simon se marie avec Thérèse Drouot le 24 septembre 1906 à Noyon.



Gabriel Simon et Thérèse Drouot ont trois enfants, Catherine, Colette et Geneviève.



Pour en revenir à cette photo, tout dernièrement nous avons pu identifier les différentes personnes grâce à Danièle Badé épouse Maréchal et à Mathieu Maréchal, respectivement la fille et le petit-fils de Catherine Simon.
Tout d'abord cette photo qui date d'environ 1912 aurait été prise rue Thiers à Soissons.
De gauche à droite nous avons : 
- Thérèse Drouot l'épouse de Gabriel Simon.
- Mélanie ? portant Catherine Anne Marie Simon qui deviendra Mme Badé.
- Madeleine ? fille de Mélanie.
- Catherine Schummer portant Geneviève Simon qui deviendra Mme Aubas.
- Nicolas Simon le mari de Catherine.
- Le garçon accroupi est Victor ?.

Le 26 mars 2020